LESTRADE AGNES DE
Mara n'est pas du genre causeuse. Les mots, elle préfère les garder dedans. Car ce sont des mots pleins de haine, pour sa propre mère, couturière, qui a fait d'elle « son mannequin permanent, sa pub vivante, son porte-manteau », la transformant en pièce montée pour aller à l'école. Mais quand, à la rentrée de 4e, elle rencontre Clara la délurée, Mara soudain lâche les mots qui tuent.
Un tout petit livre qui, à défaut de tuer, laisse quand même KO
sur la fin : la violence frappe sans prévenir, d'un seul coup. Très
court, mais intense.
Adrien, 17ans
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire